Avec le martyre de Bilal Jadallah, président de l'institution de la Maison de la Presse, le nombre des journalistes palestiniens tués par Israël depuis le 7 octobre s’élève à 60.
Jadallah dirigeait la Maison de la presse de Gaza, une institution de la société civile, soutenue par l'UE, qui dispensait notamment des formations aux jeunes journalistes palestiniens.
La Fédération internationale des journalistes (FIJ) qui représente plus de 600 000 journalistes dans 146 pays, a déjà exprimé ses inquiétudes à propos de la vie des correspondants médiatiques dans la bande de Gaza.
Le Centre pour la défense et la liberté des journalistes a également condamné à plusieurs reprises le ciblage systématique des journalistes depuis le début de l'agression israélienne.
"Le samedi 18 novembre s'est avéré être le jour le plus sanglant, puisque l'occupation israélienne a tué 6 journalistes et travailleurs des médias", a déclaré le centre dans un communiqué, soulignant qu'il s'agissait d'un "jour noir qui ne pourra jamais être oublié dans l'histoire du journalisme."
En outre le Syndicat des journalistes palestiniens, basé à Ramallah, rapporte les cas de crimes systématiques et de pressions anti-humaines du régime sioniste contre les journalistes en Cisjordanie et dans les autres zones de territoires occupée.
Choqué par ces violations de la liberté de la presse, le député français Thomas Portes écrit sur son compte X : « Le message est clair : nous allons massacrer les Palestiniens et nous ne voulons aucun témoignage, aucune vidéo, aucune image du nettoyage ethnique. Silence assourdissant des confrères en France. »
Ces héros journalistes martyrs nous ont informés sur la guerre génocidaire du régime sioniste contre Gaza.
Votre commentaire